Défaut: entreprise ERP individuation prolétarisation technique
by Christian
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Prolétarisation informatique
Il faut commencer par rappeler ce qu’est un prolétaire. Pour avoir posé la question autour de moi, peu de personnes connaissent le terme. Généralement le prolétaire est assimilé à un pauvre, qui vend sa force de travail pour gagner juste assez d’argent jusqu’au lendemain, condamné ainsi à un cercle vicieux, sans espoir de voir un jour le bout du tunnel.
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Très exactement le contraire
Thomas Clément, dans son « TomCast » de Guillaume Durand a déniché un moment qui m’a beaucoup fait rire.
Passant la plupart du temps à dire que la technique fait l’homme, le change, il est cocasse d’entendre Guillaume Durand dire, à propos des technologies et d’Internet :
Je pense, en effet, très précisément le contraire.
Nouveaux enregistrements de Bernard Stiegler
Voici le menu des ajouts :
- Intervention sur l’esthétique et le politique
- Les matins de France Culture
- Une intervention sur “La numérisation de l’instrumentarium comme question d’une organologie élargie”
- Souffrance et consommation, dans le cadre de l’association Ars Industrialis
- A propos de Mécréance et discrédits (t2 & 3), dans le cadre de l’émision Charivari sur France Inter
- A propos de La misère symbolique (t2), dans le cadre de l’émision Charivari sur France Inter
Tout çà sur la page Enregistrements de Bernard Stiegler
Un professeur de philosophie en politique
Author: Alain Etchegoyen
Editor: L’Archipel
Year: 2006
Category: Actualité politique
Un livre qui se lit avec plaisir. Une succession de portraits d’hommes et de femmes politiques. Il y a plusieurs distinctions qui sont mises à l’oeuvre :
– ceux qui ont des idées et ceux qui n’en ont pas : Claude Allègre et Ségolène Royal
– ceux qui sont des travailleurs et qui connaissent leurs dossiers, et les autres : Martine Aubry et Jean-françois Copé
– ceux qui sont sectaires et ceux qui ne le sont pas : Lionel Jospin et Raymond Barre
– ceux qui servent la France et ceux qui se servent de la France : Jean-pierre Rafarin et Dominique de Villepin
– ceux qui sont capables d’empathie et les autres : Jack Lang et Laurent Fabius
Au milieu de tout ce petit monde, le professeur Etchegoyen joue les candides tout en distribuant les bons et les mauvais points. Sans oublier de rapppeler qu’il est un esprit libre…et disponible.
Alain Etchegoyen nous rappelle, à chacun de ses livres, qu’avoir du style devient de plus en plus rare. Que l’amitié est ce qu’il y a de plus important et qu’il ne faut cesser de remercier ses maîtres.
Entreprise & nation
LAS VEGAS (Reuters) – EBay Inc. has now registered 200 million users of its online auction services, which would make it the fifth-largest country in the world if its members could form one nation, its CEO said on Tuesday.
Etonnant procédé du PDG de eBay que de comparer sa société à une nation. En même temps, le raccourci n’est pas fortuit. En tant qu’entreprise, eBay se sent légitime dans la comparaison entre le nombre de ses utilisateurs et le nombre d’habitants d’une nation.
S’il les compare, c’est qu’il n’y a pas, pour lui, d’incommensurabilité. Cette légitimité est le fruit d’un processus de commensurabilité entre une entreprise et une nation.
Jusqu’à quand des nations ?
Paradoxe du Web 2.0
Un des points qui caractérise le Web 2.0 c’est , en reprenant l’article de Tim O’Reilly :
4. La fin des cycles de releases (versions)
Comme cela a été dit dans la discussion opposant Netscape à Google, une caractéristique définissant l’ère internet du logiciel est que celui-ci est proposé en tant que service et non en tant que produit
Très bien, mais alors pourquoi le dénommer « web 2.0 », c’est à dire en utilisant le paradigme de nomenclature des produits logiciels ?
Ce n’est pas moi
Il a un blog, il s’informe en agrégeant les fils RSS, excelle dans la pratique et l’utilisation des moteurs de recherche. Il est abonné à la plupart des services de Google, il utilise del.icio.us, Flickr, Technorati et tous les sites Web 2.0. Il est même un peu connu sur le Net.
Nouvel enregistrement de Bernard Stiegler
Emission “Les affinités électives” de septembre 2004, sur France Culture.
C’est sur la page Enregistrements de Bernard Stiegler
