Shots that changed my life (16)

Freaks, Tod Browning, USA 1932.

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« Web of Data » n’est pas « Data on the Web »

Pour positionner le web sémantique, ses principaux promoteurs, dont Tim Berners Lee, parlent de plus en plus de « Web of Data ».
Mais quoi ! N’y a t il pas déjà des données sur le web ? Certes, mais ces données sont propulsées et affichées à partir de bases de données dont l’accès est verrouillé par des applications, fussent-elles des « applications web » avec des API ouvertes.

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Shots that changed my life (15)

The Kid, USA 1921, Charles Chaplin.

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Shots that changed my life (14)

Maine Océan, de Jacques Rozier, 1986, France.

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Shots that changed my life (13)

Le voyage de Chihiro, de Hayao Miyazaki (Jap, 2002).

Chez Miyazaki, le côté grotesque de la vie est en permanence souligné. C’est à partir du grotesque qu’il dessine le vivant et ce qui bouge.

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Shots that changed my life (12)

Indiania Jones et la dernière croisade, 1989, Steven Spielberg.
J’ai toujours trouvé le cinéma de Spielberg très scolaire, mais c’est certainement ce qui le rend capable de réaliser des films qui constituent la mémoire d’une génération toute entière.

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Shots that changed my life (11)

Tarzan, de Robert F. Hill, 1933.

Pour que le fantastique et l’aventure se mêlent à la réalité, le cinéma doit toujours matérialiser une frontière.

Celle-ci est souvent, mais pas toujours, une épreuve. Que ce soit un lieu (un passage) ou un artefact, il doit nécessairement frapper l’imagination.

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Shots that changed my life (10)

Sunrise (L’aurore) de F.W. Murnau, 1927.

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1 Mai 2007, 11:45
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Shots that changed my life (9)

Le Cuirassé Potemkine, 1925, de Sergueï M. Eisenstein.

La plus longue scène de descente d’escalier du cinéma. Et plus çà descend, plus notre capacité de révolte monte.

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