Multicore crisis : la crise des multicoeurs
La loi de moore ne reflète plus l’évolution du marché des microprocesseurs.
Le document au centre, s’il vous plaît
Une publicité qui opte pour l’animation et la pédagogie pour expliquer l’intéret de Google Doc.
Bien fait.
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Cette spécificité qui vous tue
C’est une ritournelle à laquelle j’adhère de moins en moins. C’est telle ou telle entreprise qui prétend être spécifique, différente. Mais quand on a entendu tant de fois ce refrain, surtout pour faire et refaire toujours les même choses, comment continuer à y croire ?
Bataille rangée autour des interfaces d’accès
Autour de ce que l’on pourrait nommer de manière générique les interfaces riches il y a profusion d’acronymes : Silverlight, Apollo, WPF, WPF/e, FLEX, AIR, JavaFX, GWT, SWING, etc.
Le but de toutes ces démarches : contrôler l’accès aux ressources web.
Le levier qu’elles utilisent toutes, ou l’argument qu’elles mettent en avant : une meilleure interface utilisateur et une meilleure ergonomie (user experience).
Une bonne manière d’éclairer les enjeux autour des interfaces riches – pour lesquelles j’utiliserai l’acronyme RIA – est de les présenter en parallèle des enjeux autour du SaaS (software as a service).
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Integration as a Service
Le métier d’intégrateur/SSII est d’installer et d’intégrer des logiciels dans le SI. Avec les offres SaaS, l’installation n’a plus lieu d’être. Mais, pour autant, la question de l’interopérabilité des logiciels qui se pose au sein des SI traditionnels n’est pas évacuée.
Ironie du sort
Le « slogan » de Microsoft pour décliner sa mutation vers le SaaS a du mal à afficher sa présence dans le moteur de Google.
Que l’on tape « Software + Services » ou « S+S », pas de Microsoft dans les premiers résultats. Et c’est pareil avec le moteur de recherche de Yahoo et de … Microsoft.
Ironie du sort, il va falloir que Microsoft renomme la déclinaison de son offre SaaS pour être visible.
SAP se met au SaaS, et quelques conséquences
A1S est le nom de code du service SaaS de SAP qui sera dévoilé ce 19 Septembre 2007.
Le Magic Quadrant 2007 du Search par Gartner
Entre FAST et Google, qui sont selon moi les deux extêmes du marché, lequel gagnera l’indexation des sources en mode SaaS ?
FAST attaque le marché par le haut en visant l’intégration chez les hébergeurs de solutions SaaS, alors que Google le fait par le bas en proposant des déclinaisons en ligne sans installation.
Il n’y a pas que le SaaS dans la vie
Il y a aussi Saas, petit village suisse :
Image obtenue en mode SaaS bien sûr, grâce a Google Earth, qui est de plus en plus impressionnant.
Enquête sur la perception du SaaS par les entreprises
Une enquête concernant le SaaS publiée sur CIO Insight en Juillet :
