Pour en finir avec la mécroissance
L’ouvrage collectif, que j’ai co-écrit avec Bernard Stiegler et Alain Giffard, vient de sortir.
En avant-goût, voici les paragraphes de la partie que j’ai rédigé et qui s’intitule Dataware et infrastructure du Cloud Computing :
§1. La nouvelle infrastructure du numérique
§2. Les services web
§3. La pharmacologie des API
§4. Du DataWare au DataWars
§5. Le web comme plateforme
§6. Service et leasing
§7. Effet de réseau et passage à l’échelle
§8. Vitesse et temps de réponse
§9. Les défis technologiques du Cloud Computing
§10. Une seule instance
§11. Une logique industrielle de masse
§12. Green IT
§13. Le big switch
§14. Le déasjustement du cloud computing
§15. Crise dans l’industrie de l’informatique de gestion
§16. Le débat entre logiciel libre et logiciel propriétaire devient secondaire
§17. Le secteur des télécoms et la neuralité du net
§18. Le réajustement par défaut
§19. Le coût d’opportunité
§20. La re-configuration nécessaire des organisations sous l’effet du cloud computing
§21. L’économie du don à l’épreuve du web
§22. Faire parler les données
§23. La dimension cybernétique du Cloud Computing
§24. L’incurie de la puissance publique
Un sommaire très intéressant. Il ne me reste plus qu’à me le procurer ?
Il me semble qu’Alain Giffard avait dans l’idée de poursuivre la thématique de manière plus collaborative ?
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Congratulations
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Excellente nouvelle, ça sent le best-seller ! Les blogs, les rencontres et les vidéos, c’est bien, mais je suis curieux de voir ce que ça donne dans un livre 😉
Félicitations !
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Par le titre, cela me fait penser au concept de décroissance prôné par entre autres René DUMONT.
Y vieindrons-nous ?
Voir
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Dumont
et
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9croissance_soutenable
Cordialement,
Wadaël
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[…] Pour en finir avec la mécroissance S’abonner aux commentaires Commentaire | Trackback | Tags : ars industrialis, bernard stiegler, […]
Alain Giffard annonce un hypertexte là :
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@ Christian
J’aurais bien voulu le mettre en tête de gondole à la FNAC, mais j’ai pris le dernier. Il part vite, ce livre !
Je ne l’ai pas encore fini, mais je me régale !
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Pourquoi ne pas mettre ce livre en ligne, libre acès et gratuit, comme l’a fait Pisani avec son Alchimie des Multitudes, et par delà poser les premières pierres de l’économie de la contribution ? 🙂
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[…] chose. C’est notamment la raison pour laquelle je terminais mon texte dans « Pour en finir avec la mécroissance » en écrivant :« Pire peut-être, ces politiques se limitent à favoriser […]
[…] encore quelque chose. C’est notamment la raison pour laquelle je terminais mon texte dans « Pour en finir avec la mécroissance » en écrivant : « Pire peut-être, ces politiques se limitent à favoriser l’accès à […]
[…] à la question agricole, mais elle ne peut pas passer par des pratiques qui nous inscrivent dans la mécroissance sous prétexte de maintenir des rentes de situations industrielles héritées d’une industrie […]
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Champagne ! (ou bière, c’est bien aussi)
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