Derrida parle : l’animal (7)

L’animal n’existe pas.


Parler de l’animal, au singulier, balaye d’un revers de main la diversité des formes de vie. Dans ce geste exclusif se trouve le germe de l’exploitation, depuis longtemps industrielle, des animaux.

Par sympathie, Derrida écrira le livre « L’animal que donc je suis ».

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