Techno-suicide
La mort rôde au Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines), et Carlos Ghosn, cet homme du cost-cutting, du cost saving et du cost-killing se retrouve malgré lui dans la peau d’un adepte du « life cutting ».
Parmi les raisons de la dégradation des conditions de travail, Gérard Blondel, délégué central CFE-CGC évoque la nécessité de remettre le dialogue au cœur des processus de décision :
« Il faut mettre fin à la déshumanisation et à la perte de contact qu’a entraînée le ‘tout-informatique’. On ne se voit plus, on ne parle plus que par postes informatiques interposés »
Étonnant de voir que la montée des solutions collaboratives et des social networks s’accompagne, au sein même de l’entreprise, de faits divers aussi sinistres.
Bonjour,
oui,
le mort est un mot qui se trouve régulièrement dans les expression dont on affuble Ghosn. Ghosn lui-même a des expressions dangereuses. L’histoire de Renault est jonché de dépouilles.
Très juste.
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